Visiter le jardin

Le jardin en chiffres

Je vous invite à vous inscrire à ma lettre d’information (en bas de page) pour recevoir des conseils jardin, les chiffres annuels de mes productions, mes retours d’expérience et l’actualité de mes formations.

Surface totale du jardin (avec terrasse et allée) : …………………………………………………………………………………150 m2

Surface cultivée du potager : ………………………………………………………………………………………………………………………30 m2

Surface cultivée pour les fruits et petits fruits : ………………………………………………………………………………………15 m2

Variétés de légumes cultivées : ………………………………………………………………………………………………………………………182

Variétés fruitières au jardin : ……………………………………………………………………………………………………………………………..26

Exposition : sud/sud-ouest

Terre : pauvre et sableuse

Mes objectifs

Travailler à la réappropriation de notre manière de consommer, notre système alimentaire mondialisé étant aujourd’hui toxique et particulièrement vulnérable.

Démontrer que des alternatives sont possibles pour produire autrement : peu d’intrants, usage maximal de l’énergie solaire, pratiques culturales réparatrices des écosystèmes, non travail du sol…

Prouver que la productivité sur de micro-surfaces urbaine peut être élevée, dès lors que sont appliqués les principes de permaculture et que des techniques d’optimisation de l’espace sont mise en oeuvre (à l’image des maraîchers parisiens du XIXème siècle).

Inciter à la pratique du jardinage en milieu urbain pour ses multiples intérêts (écologique, économique, sur la santé…) et pour le lien social qu’elle favorise.

Mes principes de jardinage inspirés de la permaculture

– Un design global du jardin réalisé lors de notre installation.

– Un sol vivant, paillé presque tout au long de l’année.

– La pratique du « compostage de surface » et du compostage en bac.

– Une diversité maximale au jardin (diversité de milieux, de faune, de flore, d’interactions…).

– La recherche d’un maximum de connexions fonctionnelles bénéfiques.

– Un travail du sol très limité. Aucun retournement et utilisation de la grelinette sur certaines parcelles en début de saison.

– Un usage minimal des produits de traitement. Seuls quelques produits autorisés en agriculture biologique peuvent être utilisés « en dernier recourt » .

– Un jardin dans lequel le « désherbage conventionnel » n’existe plus.